Quelle est la situation actuelle ?

A l’heure actuelle, de nombreux organismes œuvrent pour faire reconnaître cette méthode et favoriser son développement et son insertion dans les différents secteurs de la santé.
De plus en plus de mutuelles remboursent désormais les séances de sophrologie, au moins en partie.
Ces changements de politique de remboursement viennent confirmer les effets positifs de la Sophrologie : il est fréquemment observé que les personnes pratiquant cette méthode sont beaucoup moins consommatrices de prestations médicales et de médicaments.

Pourquoi les mutuelles s’intéressent-elles à la sophrologie ?

La raison de cet intérêt a été fort bien résumée par le Syndicat des Sophrologues Professionnels :

«Les Caisses de Mutuelles s’engagent dans une politique de prévention santé : un individu sain, qui “se prend en charge”, prend soin de lui et de sa santé, est un individu moins sujet aux maladies. »

Cet adage s’applique parfaitement pour la gestion du stress : il est prouvé que le stress est un facteur immunodéprimant, c’est à dire qu’il a tendance à affaiblir les défenses immunitaires. La Sophrologie étant dans son essence même une pratique anti-stress, elle vous aide à renforcer votre organisme.

Moins de stress, c’est aussi moins d’anxiolytiques, moins d’antidépresseurs, moins de somnifères…

Tout autant de médicaments coûteux pour les mutuelles et la Sécurité Sociale, dont la consommation peut être diminuée par une pratique régulière de la Sophrologie.

La lutte contre les addictions, les désordres alimentaires, les troubles du sommeil… sont aussi des exemples d’applications de la Sophrologie qui sont sources d’économies potentielles pour les mutuelles.

Dans l’attente de la reconnaissance et l’encadrement de la profession de sophrologue

Malgré le travail des différents syndicats de sophrologues, le statut de sophrologue n’est pas encore reconnu et encadré par l’état. Comme nos collègues ostéopathes il y a quelques années, le métier de sophrologue n’est pas encore pleinement reconnu. Pourtant tout le monde convient de l’utilité de la sophrologie, des études sont réalisées, des structures hospitalières emploient ces techniques, nos hommes politiques la pratique avant tout grand meeting…

Le souhait le plus cher de la grande majorité des professionnels de la sophrologie serait une reconnaissance et un encadrement de notre profession. Cet acte contribuerait à clarifier la situation pour l’usager, comme pour les organismes de santé, en restreignant le titre de sophrologue aux personnes issues des différents cursus reconnus pour offrir une véritable formation selon des critères objectifs.

Votre sophrologue deviendrait alors un praticien au même titre que n’importe lequel de ses confrères, avec un code de déontologie, un domaine d’intervention clairement délimité et un statut lui permettant de travailler en toute confiance avec l’ensemble du corps médical et des organismes de santé.

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